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Cytaty z tagiem "literatura francuska" [5]
[ + Dodaj cytat]Dans l’espèce d’écran diapré d’états différents que, tandis que je lisais, déployait simultanément ma conscience, et qui allaient des aspirations les plus profondément cachées en moi-même jusqu’à la vision tout extérieure de l’horizon que j’avais, au bout du jardin, sous les yeux, ce qu’il y avait d’abord en moi de plus intime, la poignée sans cesse en mouvement qui gouvernait le reste, c’était ma croyance en la richesse philosophique, en la beauté du livre que je lisais, et mon désir de me les approprier, quel que fût ce livre.
Et ce n'est pas cependant qu'elle n'aspirât parfois à quelque plus grand changement, qu'elle n'eût de ces heures d'exception où l'on a soif de quelque chose d'autre que ce qui est, et où ceux que le manque d'énergie ou d'imagination empêche de tirer d'eux-mêmes un principe de rénovation demandent à la minute qui vient, au facteur qui sonne, de leur apporter du nouveau, fût-ce du pire, une émotion, une douleur ; où la sensibilité, que le bonheur a fait taire comme une harpe oisive, veut résonner sous une main, même brutale, et dût-elle en être brisée ; où la volonté, qui a si difficilement conquis le droit d'être livrée sans obstacle à ses désirs, à ses peines, voudrait jeter les rênes entre les mains d'événements impérieux, fussent-ils cruels.
Et ainsi s'entassaient dans mon esprit (comme dans ma chambre les fleurs que
j'avais cueillies dans mes promenades ou les objets qu'on m'avait donnés), une pierre où jouait un reflet,
un toit, un son de cloche, une odeur de feuilles, bien des images différentes sous lesquelles il y a
longtemps qu'est morte la réalité pressentie que je n'ai pas eu assez de volonté pour arriver à découvrir.
Przez dziesięć lat życia grałem w karty, potem byłem lekarzem, potem błaznem, potem mędrcem, wśród tego zabrnąłem w literaturę francuską i tkwiłem w niej przydługo, aż naraz, w wilię oddania pod prasę setnego tomu „Francuzów”, ogarnęła mnie niespodzianie taka nostalgia ziemi rodzinnej, taka ciekawość rzeczy i spraw polskich, że całkowicie mnie wykoleiła.
Czyż potrzebuję przypominać, że komedia o Świętoszku jest szczytem twórczości komicznej Moliera, a tym samym najwyższym punktem, do jakiego dane było wznieść się komedii w ogóle?